L’air est un des principaux vecteurs de la transmission de la COVID au même titre que le contact direct ou la contamination par les surfaces. Les gouttelettes ou « postillons » de taille plus grosse (0.5 mm – 50 μm), ont une durée de vie limitée dans l’air ambiant, alors que les aérosols, particules plus petites (50 μm – 50 nm), peuvent rester plusieurs heures en suspension dans l’air si l’air n’est pas correctement renouvelé.
Nous avions déjà relevé à plusieurs reprises dans notre blog l’importance de la ventilation dans la lutte contre la COVID ( des correlations entre la qualité de l’air et la Covid 19, Crise Covid19 : Comment gérer les installations aérauliques ? ) en vous conseillant notamment de réaliser un audit de vos systèmes de ventilation et de traitement de l’air.
En complément des gestes barrières indispensables, une bonne ventilation des espaces clos permet en effet de limiter la concentration de la charge virale comme l’explicite le schéma ci-dessous :
En parallèle de ces actions de vérification des installations, et aussi pour les lieux ne disposant pas de ventilation mécanique, ISPIRA propose de mettre en place une surveillance en continu de la concentration en dioxyde de carbone (CO2), indicateur de confinement et donc du bon renouvellement d’air dans vos locaux. Cette surveillance est aujourd’hui reconnue comme une arme efficace de gestion du risque COVID, car elle permet d’éviter l’exposition des occupants du bâtiment (salariés, clients, visiteurs, résidents…) à une trop forte charge virale.
Dans les bâtiments ne disposant pas de ventilation mécanique ou n’ayant pas la possibilité de vérifier facilement son bon fonctionnement (réseau mal identifié, difficile à atteindre ou partagé entre de nombreux lots, propriétaire opposé à l’audit, etc…), cette surveillance de la concentration en CO2 est l’action indispensable pour pouvoir identifier une situation de confinement nécessitant d’ouvrir les fenêtres et les portes, ou de diminuer la jauge d’un espace clos. Et même dans les bâtiments mieux équipés et bien maintenus, la surveillance de la concentration en CO2 permet d’identifier des situations anormales : dysfonctionnement de la ventilation, occupation excessive d’une pièce, etc…
Cette surveillance est également un moyen de rassurer efficacement les occupants du bâtiment sur la mise en place d’un protocole complet et fiable de gestion du risque COVID. Au moment où le retour des salariés en plus grand nombre au bureau est largement évoqué, cette communication sera sans doute importante et pourra même faire partie des conditions de retour à la normale définies par les partenaires sociaux.
Comment ça marche ?
Le principe est simple : un réseau de capteurs de CO2 est déployé dans le bâtiment, et mesure en continu et en temps réel les concentrations en CO2. L’ensemble des informations sont alors remontées sur une application qui les compare à des seuils fixés par le HCSP (liens vers HCSP), et transmet alors le cas échéant des recommandations sur l’ouverture des fenêtres, ou l’augmentation des débits de ventilation quand c’est possible. Le gestionnaire du bâtiment peut accéder à l’ensemble des informations sur le bâtiment et intervenir en cas de confinement d’un espace. Dans chaque pièce, le gestionnaire peut également offrir la possibilité aux occupants d’accéder à l’information pour cette pièce au moment où ils l’occupent, grâce à un QR code à l’entrée de la pièce. Chaque occupant est ainsi rassuré et responsabilisé, puisqu’il connaît la situation et peut agir à son niveau en aérant ou en écourtant une réunion par exemple.
La solution ISPIRA en partenariat avec Pando2
ISPIRA vous propose une solution complète de surveillance du CO2 dans le bâtiment avec son partenaire l’éditeur PANDO2.
Nous vous aiderons dans un premier temps à choisir la solution de capteurs la plus adaptée à votre bâtiment, en fonction de nombreux critères comme le design (look, taille, affichage digital ou pas), le mode d’alimentation (sur pile, sur secteur), le mode de communication (Wifi, 4G, Lora, Sigfox), le niveau de précision et aussi le budget bien entendu.
Puis nous assurerons le déploiement des capteurs dans votre bâtiment avec des recommandations précises en termes de nombre et d’emplacement, et nous assurerons la connexion de l’ensemble des capteurs à notre plateforme PANDO2.
Un gestionnaire de votre choix aura accès à l’ensemble des données et pourra s’appuyer sur le support des ingénieurs d’ISPIRA pour s’approprier la solution, comprendre et interpréter les informations remontées, et agir en cas de besoin. Si vous le souhaitez, nous pourrons également mettre une partie de l’information à disposition des occupants du bâtiment au travers de pages publiques accessibles par QRcode : un simple scan du QRcode et vous savez si cette salle de réunion est suffisamment ventilée !
Et aussi…
La crise sanitaire que nous traversons est aussi l’occasion de sensibiliser davantage à la qualité de l’air dans le bâtiment. En effet, les mesures prises contre la COVID ont déjà montré leur efficacité contre les autres maladies dîtes « de l’hiver » comme le rhume, la bronchite ou la grippe. Assurer une bonne ventilation du bâtiment permettra de limiter durablement ces contaminations.
Plus généralement, l’introduction de capteurs de qualité de l’air dans le bâtiment que nous vous proposons dans le cadre de la gestion du risque COVID aura un impact sur la perception de la qualité de l’air comme élément majeur de sécurité, de productivité et de confort dans le bâtiment. Au-delà des virus et bactéries, l’attention portée à la qualité de l’air permettra de limiter l’exposition aux nombreux gaz et aux particules présents dans le bâtiment.
La solution Pando2 permettra par ailleurs d’étendre facilement le périmètre de surveillance de votre environnement aux particules fines ou aux gaz comme les Composés Organiques Volatils, le formaldéhyde, les NOx, l’ozone, etc…
L’air est un des principaux vecteurs de la transmission de la COVID au même titre que le contact direct ou la contamination par les surfaces. Les gouttelettes ou « postillons » de taille plus grosse (0.5 mm – 50 μm), ont une durée de vie limitée dans l’air ambiant, alors que les aérosols, particules plus petites (50 μm – 50 nm), peuvent rester plusieurs heures en suspension dans l’air si l’air n’est pas correctement renouvelé.
Nous avions déjà relevé à plusieurs reprises dans notre blog l’importance de la ventilation dans la lutte contre la COVID ( des correlations entre la qualité de l’air et la Covid 19, Crise Covid19 : Comment gérer les installations aérauliques ? ) en vous conseillant notamment de réaliser un audit de vos systèmes de ventilation et de traitement de l’air.
En complément des gestes barrières indispensables, une bonne ventilation des espaces clos permet en effet de limiter la concentration de la charge virale comme l’explicite le schéma ci-dessous :
En parallèle de ces actions de vérification des installations, et aussi pour les lieux ne disposant pas de ventilation mécanique, ISPIRA propose de mettre en place une surveillance en continu de la concentration en dioxyde de carbone (CO2), indicateur de confinement et donc du bon renouvellement d’air dans vos locaux. Cette surveillance est aujourd’hui reconnue comme une arme efficace de gestion du risque COVID, car elle permet d’éviter l’exposition des occupants du bâtiment (salariés, clients, visiteurs, résidents…) à une trop forte charge virale.
Dans les bâtiments ne disposant pas de ventilation mécanique ou n’ayant pas la possibilité de vérifier facilement son bon fonctionnement (réseau mal identifié, difficile à atteindre ou partagé entre de nombreux lots, propriétaire opposé à l’audit, etc…), cette surveillance de la concentration en CO2 est l’action indispensable pour pouvoir identifier une situation de confinement nécessitant d’ouvrir les fenêtres et les portes, ou de diminuer la jauge d’un espace clos. Et même dans les bâtiments mieux équipés et bien maintenus, la surveillance de la concentration en CO2 permet d’identifier des situations anormales : dysfonctionnement de la ventilation, occupation excessive d’une pièce, etc…
Cette surveillance est également un moyen de rassurer efficacement les occupants du bâtiment sur la mise en place d’un protocole complet et fiable de gestion du risque COVID. Au moment où le retour des salariés en plus grand nombre au bureau est largement évoqué, cette communication sera sans doute importante et pourra même faire partie des conditions de retour à la normale définies par les partenaires sociaux.
Capteur CO2
Comment ça marche ?
Le principe est simple : un réseau de capteurs de CO2 est déployé dans le bâtiment, et mesure en continu et en temps réel les concentrations en CO2. L’ensemble des informations sont alors remontées sur une application qui les compare à des seuils fixés par le HCSP (liens vers HCSP), et transmet alors le cas échéant des recommandations sur l’ouverture des fenêtres, ou l’augmentation des débits de ventilation quand c’est possible. Le gestionnaire du bâtiment peut accéder à l’ensemble des informations sur le bâtiment et intervenir en cas de confinement d’un espace. Dans chaque pièce, le gestionnaire peut également offrir la possibilité aux occupants d’accéder à l’information pour cette pièce au moment où ils l’occupent, grâce à un QR code à l’entrée de la pièce. Chaque occupant est ainsi rassuré et responsabilisé, puisqu’il connaît la situation et peut agir à son niveau en aérant ou en écourtant une réunion par exemple.
La solution ISPIRA en partenariat avec Pando2
ISPIRA vous propose une solution complète de surveillance du CO2 dans le bâtiment avec son partenaire l’éditeur PANDO2.
Nous vous aiderons dans un premier temps à choisir la solution de capteurs la plus adaptée à votre bâtiment, en fonction de nombreux critères comme le design (look, taille, affichage digital ou pas), le mode d’alimentation (sur pile, sur secteur), le mode de communication (Wifi, 4G, Lora, Sigfox), le niveau de précision et aussi le budget bien entendu.
Puis nous assurerons le déploiement des capteurs dans votre bâtiment avec des recommandations précises en termes de nombre et d’emplacement, et nous assurerons la connexion de l’ensemble des capteurs à notre plateforme PANDO2.
Un gestionnaire de votre choix aura accès à l’ensemble des données et pourra s’appuyer sur le support des ingénieurs d’ISPIRA pour s’approprier la solution, comprendre et interpréter les informations remontées, et agir en cas de besoin. Si vous le souhaitez, nous pourrons également mettre une partie de l’information à disposition des occupants du bâtiment au travers de pages publiques accessibles par QRcode : un simple scan du QRcode et vous savez si cette salle de réunion est suffisamment ventilée !
Et aussi…
La crise sanitaire que nous traversons est aussi l’occasion de sensibiliser davantage à la qualité de l’air dans le bâtiment. En effet, les mesures prises contre la COVID ont déjà montré leur efficacité contre les autres maladies dîtes « de l’hiver » comme le rhume, la bronchite ou la grippe. Assurer une bonne ventilation du bâtiment permettra de limiter durablement ces contaminations.
Plus généralement, l’introduction de capteurs de qualité de l’air dans le bâtiment que nous vous proposons dans le cadre de la gestion du risque COVID aura un impact sur la perception de la qualité de l’air comme élément majeur de sécurité, de productivité et de confort dans le bâtiment. Au-delà des virus et bactéries, l’attention portée à la qualité de l’air permettra de limiter l’exposition aux nombreux gaz et aux particules présents dans le bâtiment.
La solution Pando2 permettra par ailleurs d’étendre facilement le périmètre de surveillance de votre environnement aux particules fines ou aux gaz comme les Composés Organiques Volatils, le formaldéhyde, les NOx, l’ozone, etc…